Quand on doit recruter un collaborateur, l’important ce n’est ni son intelligence, ni son dévouement, ni sa capacité de travail. Non, l’important c’est sa capacité au bonheur (Gérard Worms)
Cette remarque, venant d’un grand patron de cette finance où l’on ne connaît que rentabilité des capitaux investis et création de valeur, peut surprendre.
Il aurait pu ajouter : dans certaines fonctions l’intelligence et l’acharnement au travail ne sont qu’une simple politesse et le dévouement reste une denrée périssable. Alors même que la capacité au bonheur est un talisman enchanté ; elle change notre perception du monde et nous permet de continuer à former des projets quand tout va mal.
Elle relativise toutes les réussites.
Question : quel est le critère de l’aptitude au bonheur?